Sous la vaste arrondie translucide du dôme martien, les jours s’écoulaient avec une lenteur oppressante. Alia ressentait le poids idéal des projections silencieuses sur les parois. Elles étaient désormais permanentes, mollement mouvantes, notamment une vapeur dense qui refusait de faire évaporer. Ces portraits, nées des regrets cachés et non formulés, https://augustavhwk.blogdon.net/le-dôme-des-lamentation-50354087