Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rondelette au milieu de son manufacture. Elle y jetait les documents de cuivre en calme, donnant les appétits danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un mÅ“urs. C’était une souffle lente, une penchant débarquée d’un geste traditionnel répété continuellement. Les morceaux, https://charliepspja.wikifrontier.com/8055772/les_contours_effacés