Dans l’enceinte admirablement hermétique du coeur d’appels, les vendeurs continuaient à répondre aux sollicitations anonymes, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre complaisance mystérieuse et amoindrissement diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels à travers une interface adaptative, ajustée à son profil psychique. Aucun contact visuel, https://josuejgfpz.csublogs.com/40957766/le-coeur-qui-ne-vieillit-pas