Le scribe traçait minutieusement les caractères divins sur le parchemin, l’encre noire s’imprégnant mollement dans le délicat papyrus. Chaque aurore, il consignait les noms des dirigeants, des généraux et des effigie vitales de Carthage, s’assurant que leur existence ne tombe jamais dans l’oubli. Mais tout matin, lorsqu’il déroulait le parchemin, https://judahspizs.livebloggs.com/40221179/le-dernier-surnom